Le Général de brigade Daniel Mwaku Mbuluku, commandant de la 33e région militaire, a brutalement quitté ce monde ce vendredi. Le drame s’est produit alors qu’il accomplissait ses fonctions à Uvira, dans le Sud-Kivu. Un malaise soudain a précipité son évacuation vers l’Hôpital général d’Uvira, où les médecins n’ont pu inverser le cours du destin.
Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont confirmé la triste nouvelle dans un communiqué officiel. Le Haut commandement militaire exprime une « profonde tristesse » face à la disparition de cet officier supérieur. Son engagement indéfectible et son sens du devoir étaient reconnus par tous ses pairs.
Comment la sécurité du Sud-Kivu sera-t-elle impactée par cette perte soudaine ? La 33e région militaire, zone stratégique pour la défense nationale, se retrouve privée de son chef en pleine période de tensions sécuritaires. Le décès du général Mbuluku laisse un vide opérationnel que le Haut commandement devra combler rapidement.
Malgré les efforts des équipes médicales, le pronostic vital n’a pu être favorable. Le transfert en urgence n’a pas suffi à sauver le commandant de la région militaire. Les circonstances exactes de son malaise font l’objet d’une enquête interne, selon des sources militaires.
Le rapatriement de sa dépouille vers Kinshasa est en cours d’organisation. La capitale accueillera des cérémonies officielles pour rendre les honneurs militaires dus à son rang. Le Chef d’état-major général a personnellement adressé ses condoléances à la famille endeuillée, particulièrement à son épouse et ses enfants.
Le parcours du Général Daniel Mwaku Mbuluku restera dans les annales des FARDC. Sa rigueur légendaire et sa fidélité à la nation congolaise ont marqué ses années de service. Comment les forces armées vont-elles surmonter cette lourde perte ?
La région d’Uvira, théâtre de nombreux défis sécuritaires, perd un acteur clé de sa stabilisation. Les hommages militaires se préparent dans une atmosphère de recueillement. L’ensemble de la hiérarchie militaire reconnaît l’importance de son œuvre pour la sécurité nationale.
Ce décès intervient dans un contexte sécuritaire complexe pour l’est de la RDC. La disparition soudaine d’un officier de ce rang pose des questions opérationnelles immédiates. Qui prendra la relève à la tête de cette région militaire cruciale ?
Les préparatifs funéraires mobilisent l’état-major général des FARDC. La nation reconnaissante saluera prochainement le sacrifice ultime de ce serviteur de la République. Son héritage militaire continuera d’inspirer les générations futures de soldats congolais.
Article Ecrit par Cédric Botela
Source: mediacongo.net