Dans une révélation stratégique majeure, Tsahal a dévoilé ce vendredi matin le bilan exhaustif de l’opération “Réveil du Lion”, menée contre les infrastructures nucléaires et balistiques iraniennes. Cette offensive décisive, intervenue trois jours seulement après la conclusion d’un fragile cessez-le-feu, marque un tournant dans le conflit Israël Iran. Les préparatifs minutieux, initiés il y a plusieurs années, ont culminé avec la découverte d’un plan détaillé de destruction d’Israël par le régime des mollahs, précipitant l’intervention militaire.
La frappe d’ouverture du 13 juin 2025, menée à 1 500 kilomètres du territoire israélien, a constitué un pivot opérationnel. Cette attaque surprise a simultanément paralysé les systèmes de commandement iraniens, éliminé neuf scientifiques nucléaires clés et neutralisé les défenses aériennes. Selon les analyses militaires, cette phase initiale a “dépassé les attentes” en garantissant la liberté d’action aérienne nécessaire aux 1 500 sorties ultérieures. Comment Israël a-t-il identifié ce programme nucléaire iranien en phase terminale ? Les renseignements avaient accumulé des preuves alarmantes : enrichissement d’uranium à 60% à grande échelle, expériences secrètes sur les composants d’armes nucléaires, et surtout un plan concret visant à “détruire Israël” par une attaque multi-fronts coordonnée.
Le cœur de l’opération Tsahal Iran a ciblé trois dimensions critiques. D’abord, la menace balistique : avec un projet iranien de tripler sa production de missiles pour atteindre 8 000 unités en deux ans, constituant selon Tsahal une “menace existentielle Israël“. Ensuite, l’arsenal nucléaire via l’élimination de 11 scientifiques de haut rang et la destruction systématique des sites d’enrichissement d’Ispahan et d’Arak. Enfin, le leadership sécuritaire, avec l’élimination de 30 hauts responsables et trois commandants suprêmes lors de la première frappe.
Les résultats opérationnels témoignent d’une précision chirurgicale :
- 900 cibles stratégiques atteintes dont 200 rampes de lancement (50% du stock iranien)
- Destruction de 80 systèmes sol-air et 35 sites de production de missiles
- Neutralisation de milliers de centrifugeuses nucléaires
- Attaque record menée jusqu’à l’aéroport de Mashhad (2 400 km)
L’impact sur le programme atomique iranien s’avère particulièrement significatif. Les capacités d’enrichissement à 90% ont été “neutralisées pour une période prolongée”, tandis que la production du cœur nucléaire est temporairement impossible. Les infrastructures de recherche dévastées et l’élimination des cerveaux scientifiques représentent un revers majeur pour Téhéran. Cette frappe nucléaire Israël préventive a-t-elle redéfini les équilibres régionaux ? Le communiqué de Tsahal est sans ambiguïté : “La menace existentielle pesant sur l’État d’Israël a été éliminée”.
Dans sa conclusion stratégique, l’état-major israélien a martelé un avertissement : le régime iranien “n’a plus d’immunité” et Israël ne permettra pas qu’une telle menace se reconstitué. Cette opération, menée au seuil du point de non-retour nucléaire, illustre la doctrine de sécurité israélienne face aux périls existentiels. Reste désormais à mesurer les répercussions diplomatiques de cette intervention qui a fondamentalement altéré l’équation stratégique au Moyen-Orient.
Article Ecrit par Cédric Botela
Source: mediacongo.net
