Le 7 mai 2025, le conclave s’est ouvert au Vatican pour élire le successeur du pape François, décédé le 21 avril à l’âge de 88 ans. Les 133 cardinaux électeurs, représentant plus de 70 pays, se sont réunis dans la chapelle Sixtine pour entamer ce processus sacré. Le premier vote s’est conclu par une fumée noire à 21h, signalant qu’aucun candidat n’avait encore obtenu la majorité requise des deux tiers.
Ce jeudi 8 mai, les cardinaux se sont réunis de nouveau pour poursuivre les délibérations. Jusqu’à quatre votes sont prévus aujourd’hui : deux le matin et deux l’après-midi. Une fumée blanche s’élèvera de la cheminée de la chapelle Sixtine si un candidat obtient la majorité nécessaire, annonçant ainsi l’élection du nouveau pape.
Parmi les candidats potentiels, le cardinal Fridolin Ambongo Besungu, archevêque de Kinshasa, est fréquemment cité. À 65 ans, il est reconnu pour son engagement en faveur de la justice sociale et son opposition à la corruption. S’il était élu, il deviendrait le premier pape africain en plus de 1500 ans.
D’autres figures notables incluent le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’État du Vatican, et le cardinal Luis Antonio Tagle des Philippines. Le choix du nouveau pape influencera la direction future de l’Église catholique, notamment en ce qui concerne les réformes initiées par le pape François.
La communauté catholique mondiale, y compris en République démocratique du Congo, suit avec attention les développements du conclave, espérant l’émergence d’un leader capable de guider l’Église dans les défis contemporains.